« Les mutualisations sur les centrales d'achat, la logistique, le siège ou le SAV (service après vente) ne se feront pas malheureusement sans casse sociale », a renchéri Thierry Lizé, délégué FO à la Fnac.
Même si l'« agitateur culturel », surnom de la Fnac, a toujours affirmé vouloir conserver les deux enseignes, l'autre crainte vient de possibles fermetures de boutiques que pourrait demander l'Autorité de la concurrence pour autoriser le rachat, si elle estime que ce dernier pourrait créer des positions dominantes sur certaines zones. « Le pire est à craindre en termes d'emplois », car dans certaines villes « un étage ou 100 mètres séparent les deux enseignes », a affirmé M. Lizé.
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